Pierre Portevin
Coach de vie, formateur, conférencier
Sa passion
La passion de Pierre, c’est aider chacun·e à créer en soi une relation de bienveillance, de confiance et d’estime, pour vivre une vie pleine de sens et de satisfaction.
Pierre est lifecoach, conseiller en développement personnel et en intelligence collective des organisations, ainsi qu’en communication. Il co-pilote le projet DareDo (www.daredo.net) qui vise à rendre les pratiques de coaching et de développement personnel accessibles au plus grand nombre, via les nouvelles technologies.
Pierre est aussi formateur et conférencier dans les domaines principaux de son travail : l’amitié avec soi-même, la bienveillance comme levier de performance et le courage.
Son livre
Mon meilleur ami... c'est moi
Éloge et mode d'emploi de l'amitié avec soi-même
- Editeur : Eyrolles
- Date parution : Avril 2017
- Nombre de pages : 200
- Prix : 18 €
Une approche en douceur pour renouer avec la confiance et l'estime de soi.
Ce livre nous apprend pourquoi notre meilleur ami… c’est nous. Et comment le devenir si ce n’est pas encore le cas.
Pierre a identifié les qualités au coeur de l’amitié. Il nous invite à les cultiver envers nous-même, avec indulgence et bienveillance, mais sans complaisance. S’accepter et s’apprécier tel que l’on est, dans sa vulnérabilité, s’autoriser l’erreur, le doute, l’imperfection…
Nourri de recherches scientifiques, de pratiques de thérapie et coaching, ce livre savoureux, fait de conseils, de récits et d’exercices agréables, nous aide à nouer une « auto-amitié » bienfaisante et enthousiasmante.
Où peut-on trouver le livre ?
Sur le site de l’éditeur – Sur le site de l’auteur – Sur Amazon
Son parcours d'auteur
A quel moment as-tu eu l’idée d’écrire un livre ? Qu’est-ce qui t’a donné l’idée ou l’envie ?
J’ai pratiqué un des exercices de ma formation : une méditation de fin de vie. Je me projette et je regarde derrière et vois ce que je regretterais de ne pas avoir fait.
Laisser à mes enfants une sorte de mode d’emploi de la vie (que je n’ai pas reçu moi-même) – j’en parlais souvent à mes amis mais ne faisais rien. C’est un ami proche qui m’a invité à me lancer.
Je me confronte alors à moi-même, j’écris des pages et des pages, qui sont les plus importantes du livre, mais elles ne s’y trouvent pas car elles n’étaient « pas assez bien ». Les échos étaient bons mais tout restait à faire.
Puis j’ai rencontré Laurence au cours de ma formation de coach. On a fait un essai et… on a continué sur la lancée !
Quel(s) objectif(s) professionnels poursuivais-tu avec ce premier livre ?
Je ne l’ai pas du tout fait pour développer mes activités de coach. Je ne savais pas encore si j’allais être édité ou pas. J’ai écrit à une éditrice chez Eyrolles pour lui demander conseil et elle était emballée par le sujet.
En quoi mon accompagnement vous a -t-il été particulièrement utile ?
Ce qui m’a frappé, même si je croyais avoir une bonne plume, c’est que j’ai réalisé que je ne savais pas écrire ou plutôt que j’avais beaucoup de choses à apprendre. C’est difficile d’accepter ça. J’ai appris beaucoup grâce à l’accompagnement : comment structurer, améliorer l’ordre, la logique, la formulation des phrases. La grande difficulté était de traduire ma pensée.
L’accompagnement donne aussi du courage, de la confiance, on devient « sparring partner » comme en boxe. Je ne peux progresser qu’en me confrontant à ce qui me challenge, me met au défi, me fait avancer.
Un conseil pour les auteurs qui souhaitent se lancer dans l’aventure ?
Ce qu’on écrit est un contenu qui nous est propre. Il nous correspond et répond à une quête, à quelque chose qui nous anime et nous fait avancer. On n’écrit pas sur un sujet, on travaille sur un sujet. On fait des allers-retours entre soi et les autres. On est en partie le sujet.